Paul Cauchon, Le Devoir

L’histoire de Karine Gagnon, journaliste au Journal de Québec, n’est pas banale: elle a été sommée de comparaître hier matin devant la Commission des relations de travail, qui voulait obtenir d’elle qu’elle dévoile les sources confidentielles d’un de ses articles.

Et comme si ce n’était pas assez, son employeur, Quebecor, avait refusé de la défendre, sous prétexte que le Journal de Québec est en lock-out.