Dans sa chronique «Big brother c’est aussi vous et moi», Marie-Claude Lortie tente d’expliquer l’art de la censure journalistique ou plutôt, pourquoi, certaines choses méritent d’être publiées et d’autres pas, particulièrement en matière de vie privée.
L’exercice se veut d’abord une réflexion sur l’utilisation des médias sociaux, qui permettent de mettre à nu nombre de situations, mais aussi d’exposer des inconnus sur la place publique.«Être journaliste (…) c’est avoir toutes sortes de réflexes et de réflexions, qui font qu’on raconte publiquement certaines choses et d’autres pas. Car il y a, dans la vie, des histoires d’intérêt public et d’autres qui sont du domaine privé», écrit-elle.
Elle ajoute que le respect de ce qui est privé sera sans doute le défi de la prochaine décennie.
Elle estime du reste que la distinction entre ce qui doit être publié et ce qui doit ne pas l’être fait partie des éléments qui distinguent les journalistes professionnels des autres communicateurs ou animateurs.
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