La Fédération professionnelle des journalistes du Québec a décerné son premier Prix de la Noirceur, attribué à “l’organisme public qui manifeste le moins de transparence et pose le plus d’obstacles à la diffusion de l’information”, à Hydro-Québec.

Selon le jury, “Hydro-Québec a essayé de cacher des informations de grand intérêt
public, a nié le problème en faisant sciemment perdre son temps à une
journaliste mais a aussi saboté sa recherche par derrière. L’organisme
public tentait d’empêcher une journaliste d’avoir accès à des
informations liées à des clients mécontents de Hydro-Québec.”