Pascal Lapointe, Mediaetdemocratie.blogspot.com |

D’un côté, il y a ceux qui disent qu’entre concentration de la presse,
coupes budgétaires et précarisation de la profession, le journalisme
comme « chien de garde de la démocratie », est une espèce en voie de
disparition. De l’autre, il y a ceux qui taxent les premiers
d’alarmistes, alléguant que la société « aura toujours besoin de
journalistes ».

Peut-être ont-ils raison tous les deux? Peut-être que la profession
continuera de s’affaiblir, mais qu’elle survivra malgré tout. Et si on
essayait d’établir un consensus? À partir de quel seuil serait-on tous
d’accord, même les « optimistes », pour dire qu’il faut commencer à
s’alarmer?