Le journalisme indépendant est l'avenir de la profession, et non une voie de garage précaire. C'est la thèse que défend la journaliste Mariève Paradis, de l'Association des journalistes indépendants du Québec (AJIQ), dans un texte publié sur ProjetJ en réaction à un récent article de Nathalie Collard, de La Presse, portant sur la précarité des jeunes journalistes.

Le journalisme indépendant est l'avenir de la profession, et non une voie de garage précaire. C'est la thèse que défend la journaliste Mariève Paradis, de l'Association des journalistes indépendants du Québec (AJIQ), dans un texte publié sur ProjetJ en réaction à un récent article de Nathalie Collard, de La Presse, portant sur la précarité des jeunes journalistes. Les deux professionnelles ont échangé leurs idées sur Twitter. ProjetJ en a compilé la substance.