Élaine Hémond, Sisyphe.org |

Comme il n’y a jamais de fumée sans feu, il n’y a pas non plus de ramdam dans un orchestre sans interprétations différentes d’une partition. C’est avec la double lunette d’une féministe active et d’une ex-journaliste indépendante que je me permets d’apporter mon interprétation de ce ramdam à la Gazette des femmes, dénoncé par la journaliste du Devoir, Isabelle Porter.

Plusieurs facettes de la question méritent d’être regardées au-delà de la tentation de céder à la facile diabolisation d’un féminisme vu comme trop radical. Cette tendance, d’ailleurs fort bien exploitée par les masculinistes et par les milieux ou individus qui ont encore beaucoup à perdre de l’égalité tous azimuts des femmes, est, j’en conviens, attirante et même très glamour actuellement.