Denis Pigeon, Cumberland, Le Droit |

Que l’Université Carleton, située à quelques kilomètres du parlement
canadien, laisse tomber le français comme prérequis en journalisme
lance un message très clair à toutes les autres universités canadiennes.

Que le Nouveau-Brunswick, province officiellement bilingue, abandonne
le programme d’immersion française précoce a aussi de quoi surprendre.

En Ontario, les écoles françaises sont les plus aptes à préparer les
jeunes aux études post-secondaires, qu’ils soient francophones,
anglophones ou allophones.