La décision de certains élus de l’Assemblée nationale de refuser d’accorder des entrevues individuelles aux journalistes du Journal de Montréal durant le lock-out, inquiète la Fédération professionnelle des journalistes du Québec qui y voit un dangereux précédent, qui ne sert nullement l’intérêt du public, ni la liberté de presse.