AFP/Le Devoir |

New York — La crise économique et l’effondrement des revenus
publicitaires qui en découle ont fait hier une première victime de
marque dans la presse américaine, avec le dépôt de bilan du groupe
propriétaire du Los Angeles Times.

Avec la décision du groupe Tribune de demander la protection de la loi
sur les faillites (chapitre 11), certains des plus grands titres de la
presse américaine voient leur existence menacée: outre le Los Angeles
Times, le Chicago Tribune, le Baltimore Sun et le Hartford Courant.