Le Devoir |

La direction de l’agence de presse Reuters a fait circuler un courriel interne dans lequel elle annonçait la fermeture immédiate de la salle de rédaction de Montréal. Le bureau, qui ne comptait plus qu’un seul journaliste, avait subi une première vague de licenciements au début de 2004, à l’époque où Reuters connaissait des problèmes de rentabilité.