Lise Millette, ProjetJ

Des chercheurs réunis pour discuter des moyens susceptibles d’améliorer la couverture journalistique de la crise climatique ont été forcés de tenir compte d’une autre crise : le nombre de journalistes spécialisés dans la vulgarisation scientifique a décliné de manière importante. D’une part, certaines salles de rédaction ont réduit leur couverture scientifique et de l’autre, le nombre de journalistes intéressés demeure marginal.

Pascal Lapointe, de l’Agence Science-Presse à Montréal n’hésite pas à affirmer que son espèce est en voie de disparition.